*Sort un vieux livre poussiereux commence à le lire*
Lame brillante, lune éclatante, noir retour...
C’était un hiver rude et froid où un jeune général nommé Antonius, à la solde du roi Allister , roi de la contrée Amakna, revenait victorieux de sa campagne dans les landes de sidimonte où les voyageurs se faisaient détrousser par une armée terrible qui sévissait depuis trop longtemps : Les Ouginaques ! Le jeune général las s’était retirer dans sa tente pour boire à sa victoire avec ses femmes; il y en avait sept. Chacune représentant un soir de la semaine. Chaque soir il prenait avec lui la femme qui correspondait à ce jour. Ces femmes cependant, le haïssaient cordialement car il exigeait d’elles des prouesses vraiment…BREF !
Un soir une de ces femmes prit d’un accès de colère, assassina le jeune général et se donna la mort quand elle prit conscience de son acte. L’empire déplora cette lourde perte et les funérailles du générale furent grandioses. Il fut enterré sous un Orme énorme qui se situait au sommet d’une colline surplombant l’empire : La montagne des craqueleurs.
Il est à préciser que ce général était haït de beaucoup de gens. Les soldats ne supportaient plus son règne tyrannique dans l’armée. Ils furent forcés sous peine de mort de rester à son enterrement…
De plus le roi de Brakmâr ayant appris la nouvelle de la mort du général, entreprit plusieurs raids contre Allister. Les raids furent sanglants et se passèrent dans les montagnes Koalaks . Le roi de Bonta prêta main forte a Allister et la bataille n’en fut que plus meurtrière… Les deux camps finirent par signer un Armistice car les pertes étaient trop lourdes, en effet le roi de Bonta fit ériger un immense cimetière pour y enterrer les valeureux soldats qui un jour avaient été sous le commandement du général à cause duquel cette guerre avait été déclarée. Le roi Brakmârien, lui, fit entasser les corps de ses guerriers à l’est de Brakmâr.
…
Deux milles ans plus tard, un chaman fou franchit les barrières de sécurités protégeant ce lieu antique et historique pour s’agenouiller devant cet Orme massif dont les racines ont recouverts la tombe du général Antonius et réciter quelques incantations mystérieuses…
Au bout de deux heures d’incantations (sans même une pause pipi) il lança une poudre inconnue [par la suite on en déduira que cette poudre est une poudre de résurrection] et le sol trembla d’une force inimaginable…
Un halo recouvrit l’Orme d’une lumière intense et une explosion eut lieu. Le sol s’ouvrit et un squelette vêtu d’une cape sorti des entrailles de la terre. Le chaman qui l’avait réveillé lui adressa ces paroles :
-« Lève-toi, obéis-moi et répare tes erreurs passées en aidant les être ayant besoin d’aide et fais-toi aimer d’eux mais ne te fais point manipuler… » Sur ce, le grand chaman tira une dague de sa botte et s’immola au sommet de cette colline… N’ayant plus aucune connaissance du monde actuel, il fut vite perdu et se retrouva confronté à lui-même, les villes avaient changées, mais les anciennes confrontations n’avaient cessées d’exister entre les villes Bonta et Brakmâr. Allister étant immortel, était toujours sur le trône (bien qu’on eût dû lui refaire plusieurs fois les dimensions du trône vu que tout ce qu’il mangeait le profitait). Il se souvenait soudain des paroles du chaman fou et se dit qu’il ferait mieux de les appliquer à moins de n’avoir quelque chose de mieux à faire… Il réfléchit longtemps, très longtemps : environ cinq secondes et décida d’avoir pour but les dernières paroles du chaman…
Ce squelette aida, ou bien essaya d’aider tous les ploucs qui avaient besoin d’une aide guerrière, mais à son approche, ils s’enfuyaient en criant « Attention voilà Sournois !! » car tel était le nom que les gens de ce compté lui avait donné, car sa carrure inspirait à la sournoiserie et à la peur…
Mais les habitants de ce compte finir par s’habituer à sa présence et commençaient même à se moquer de lui en l’appelant : Sournois-man …
Pour se venger de cette moquerie il entreprit une véritable tuerie et il sema la terreur, mais n’ayant plus soif de sang il préféra s’exiler pendant quelques temps. Il parcoura les plaines de Canias, traversa les champs d’Ingalsses, s’aventura dans les bois de Lineg et marcha même sur le territoire des Dragoeufs…Cependant il se sentait seul et il chercha de la compagnie…Justement, des groupes de personnes commençaient à former des guildes et Sournois entra dans quelques-unes mais ce n’était pas ce qu’il cherchait et s’exila.
Un beau jour, il découvrit un groupe de puissant de guerriers et d’artisans formant une guilde appelés « Ordre des Dragons de l’Aube »… et depuis il cherche a entrer dans cette guilde de bonne renommée…
Renaissance et envies...
Quelques mois plus tard, alors que Sournois se délectait de sa vie bien heureuse dans une maison de sa guilde, il pensa à ses amis, ses ennemis… Il s’en voulait éperdument d’avoir massacré des pauvres gens, cela le rongeait et le regret pointait le bout de son nez, dans son âme…
Une douleur, là où tout être vivant aurait un cœur, persistait depuis qu’il avait rencontré de nouvelles personnes et les membres de cette guilde.
Une nuit, la douleur le fit tellement souffrir, que de la chair apparut au dessus de ses os, un cœur battait dans sa poitrine, ses muscles se contractèrent –car il avait désormais des muscles-, des cheveux lui poussèrent sur le crâne, des yeux se formèrent dans leurs orbites respectifs ; De multiples transformations opéraient cette nuit…
Il se réveilla en sursaut, respirant bruyamment, se leva et sorti pour se calmer. En passant devant une fenêtre, il ne put retenir un cri de surprise, il se voyant là, comme quand il était encore humain… Il y a deux mille ans !! Cette nuit là, Sournois dormi bien et longtemps en faisant à nouveau des rêves…
Le lendemain matin il chercha un nom : Orani, oui, c’était le nom de son petit frère qui était mort depuis bien longtemps, et il se l’attribuait désormais…
Il se tua à expliquer à ses amis son étrange transformation, ils ne le croyèrent pas au début mais à force de volonté ils commencèrent à accepter le fait qu’il ait changé.
Cette transformation transforma sa vie en un rêve. Il entreprit de faire un voyage à travers l’amakna et les plaines de Cania pour rallier le château d’amakna à Bonta. Son retour fut troublé par une découverte surprenante : Un homme, un arc tendu dans les mains, entreprenait d’achever un sanglier énorme, un tir puissant et bien cadré l’abatis sur le coup. L’homme, si euphorique fut-il, donna son arc à Orani et reparti en chantant sur la route. Orani le rattrapa et le supplia de lui apprendre à se servir d’un arc et d’une dague pour qu’il puisse se défendre dans ce monde de brute hostile et bien mystérieux…
L’homme s’appelait Nakamura et était un maitre à l’ancienne école de combat de Bonta, désormais fermée. Il accepta à une condition : c’est Orani qui devra chasser pour les nourrir tous les deux.
La lame siffla non loin du visage d’Orani avant de revenir vers lui en un arc de cercle mortel. Il n’évita le coup mortel qu’en plongeant à terre. Il se releva précipitement et lança un regard de détresse autour de lui. Nakamura était adossé non loin de là, observant la scène avec intérêt. Il se jeta sur lui lame pointée à la hauteur de son ventre… Alors que tout sa conscience lui criait de prendre la fuite, Orani se contraignit à rester immobile. Tendu , il attendit la dernière seconde, pivota, abattit le tranchant de sa main sur le poignet de l’homme qui poussa un grognement de douleur.
Déjà l’homme revenait à l’attaque. Il porta une série de coups qu’Orani n’esquiva qu’à grand-peine, puis sabra l’air à plusieurs reprises, obligeant Orani à reculer de sorte qu’il se retrouve dos au mur…
Malgré la fraicheur de la nuit, un filet de sueur emperlait le front d’Orani.
Orani prit son élan, couru, bondit et atteri à côté de l'homme, lui enfonçant sa lame de toute sa longueur et la retirant tout aussi vite, Orani se retourna vers son maitre :
Nakamura étonné par cette performance, acquiesça et reparti vers le centre ville de Brâkmar, suivit par son élève, comme deux ombres.
Tel était la fin de son entrainement avec Nakamura et Orani sentit le besoin de retourner en Amakna.
Le lendemain il fit ses adieux à Nakamura, ce dernier le félicitant et le bénissant.
Sans un regard en arrière, Orani prit la route vers Amakna.
Cependant Orani devait rentrer à Amakna et revoir les personnes de sa guilde, hélas ils n’étaient pas convaincus par ce jeune crâ inexpérimenté et très vite commencèrent à douter de ses capacités à l’arc.
Pour lui le seul moyen de retrouver sa place au sein de la guilde était d’apprendre à tirer… A la perfection !!
Ce fut dur et long, mais Orani parvint à maitriser l’arc et, voulant tester son arc, tua un papillon à au moins 60 mètres. Seulement le papillon passait juste à ce moment là devant la figure d’un des garde de la porte de Bonta et… Ce fut le drame… Une traque avait été entreprit, il lutta, tua pour sauver sa vie, et le seul refuge qui lui était possible à présent, était la cité de… Brâkmar…
Les mois passèrent, il s’entrainait avec entrain puis, un jour, il en eu assez de rester dans cette ville, ces égouts, cette arène, il sortit, tout simplement et se tourna vers les membres de cette guilde en leur demandant de tout cœur si ses pas pouvaient à nouveau le mener dans cette dernière.
Une aventure, cependant, lui marqua la mémoire au fer rouge, un homme, des plus mystérieux, l'agressa un soir dans une sombre ruelle de Brakmâr... S'en suivit un combat acharné, ou la vitesse se mêlait avec l'adresse, et Orani, tant bien que mal, vaincu. L'adversaire toujours en vie, il lui soutira qui il était, enfin, son statut et qu'il appartenait à un redoutable et respecté clan de mercenaires: les Eynires...
L'aventure, voila ce qui poussa Orani à aller à la rencontre de ces derniers, en espèrant de tout coeur, être accepter au soin de ce clan.
Les semaines passèrent, et, au fur et à mesure que le jeune homme avançait dans sa formation de mercenaire, un surnom, qui est rapidement devenu son nom, lui a été attribué, par ce clan: Sourd-Noix !
Au fur et à mesure que ce clan prenait en puissance et en ampleur, Sourd-Noix progressait aussi, si bien qu'un jour, une illumination le traversa: il devenait un disciple de Iop...
Il repensa soudain à ses amis, son ancienne guilde... Tout cela lui manquait terriblement !
Un jour, il se décida: il frappa timidement à la porte puis cloua sa candidature sur le panneau réservé à cet effet.
Fin.
[HRP]
Bonjour, je suppose que vous me connaissez, mais je vais quand même me présenter:
Pseudo: Sourd-Noix;
Classe: Disciple de Iop;
Abonné: oui;
Niveau: 50 ( j'exp vite :p );
Métier(s): -Bûcheron 56;
-Sculteur de bâtons 45.
Bien que mon niveau ne soit pas élevé, je poste quand même ma candidature car cette guilde et ses membres me manque beaucoup !
Je ne suis pas parti, mais je me suis fait hacké. ( Au cas ou vous ne le sauriez pas ).
Ma motivation est toujours la même: jouer en Roll Play en guilde.
J'ai poster ma candidature pour venir dans cette guidle que j'aime tant, au prix de ne pas pouvoir participer aux activités de la guidle avant mon niveau 80 ( je pense être lvl 80 au moins dans 1 mois, voir 1 mois et demi au plus tard ).
En espèrant pouvoir réintégrer cette guilde qui me tient à coeur.
Bien à vous, Sourd-Noix.
*Part s'allonger sous un arbre en attendant la réponse*